Triste Science

Ou comment la pseudo-Science gouverne incognito

Depuis le début de ce qu’on appelle l’état d’urgence sanitaire, notre vie sociale obéit à la voix de la Science.

Aya, tous droits réservés

Les gouvernants prennent les mesures les plus extrêmes en son nom, à travers les productions de documents, baptisés ‘études’, d’une poignée d’individus censés représenter la communauté scientifique dans sa totalité, alors que ces études ne sont jamais soumises à contre-expertise, ce qui devrait pourtant être le lot de toute production scientifique.

Études, voilà le mot qui sort des bouches de Saint-Média, mais leur lecture attentive frappe par sa rédaction au mode incertain ponctué par des il semble, il se pourrait, on s’attend à, on suppose, un fatras d’hypothèses, à partir desquelles, grâce à une machinerie mathématique flamboyante jouant ici le rôle de la boule de cristal, on sort des conclusions ayant valeur de vérité en mode définitif. Ce sont ces apprentis-sorciers redoutables qui maintiennent une population captive dans la peur permanente du rebond épidémique pronostiqué par leurs simulations pseudo-scientifiques : elles constituent le socle de la désinformation gouvernementale et la seule justification des mesures autoritaires nocives qu’on nous impose.

L’accusation est grave, visant des personnels attachés au renommé Institut Pasteur, mais les faits sont là : toutes ces études ont produit des conclusions fausses sans exception aucune.

Un mathématicien a décidé de mettre en cause la validité mathématique même du travail, en dénonçant une fraude scientifique1 suffisamment sérieuse pour porter l’affaire en justice, concernant une étude datée du 28 juin 2021 qui a servi de justification aux mesures annoncées par le président Emmanuel Macron, le 12 juillet 2021.

Cette étude repose sur les hypothèses suivantes concernant l’efficacité du vaccin :

· réduction de 95% du risque d’hospitalisation

· réduction de 80% du risque d’infection

· réduction de 50% de l’infectiosité 

A partir d’hypothèses discutables, on en arrive à la conclusion que ce sont les non-vaccinés qui vont diffuser l’épidémie et tomber malades.

Ces données ont été établies, sans avoir pu mesurer l’impact réel du nouveau variant delta alors en début de croissance, les rendant donc invalides.

Des hypothèses qui se révèlent effectivement fausses

Dans une note d’alerte datée du 27 Août 20212, le Conseil scientifique reconnaît:

« …Les vaccins, bien que protégeant efficacement contre les formes graves (90%), ont une efficacité limitée vis-à-vis de l’infection par ce variant Delta, avec une protection vaccinale estimée initialement à 80-90%, puis plus récemment autour de 50%. Les personnes vaccinées étant elles-mêmes capables d’infecter leur entourage… »*

De plus, des hypothèses concernant le taux de reproduction R de l’épidémie ont été systématiquement surestimées à tort dans toutes leurs études, justifiant les scénarios catastrophistes. A titre d’exemple : où sont les 400000 morts annoncés par le président Emmanuel Macron lors de la seconde vague et les 9000 patients en réanimation ?

Ces savants d’opérette inlassables annoncent une cinquième vague automnale moyennant leurs nouvelles hypothèses encore plus alarmistes, sans modifier d’un iota leur modèle mathématique défectueux.

Sur quelles bases ? Le variant delta est en pleine extinction ? Ou bien une nouvelle mutation virale ? Hypothèses toujours ! A moins qu’il ne s’agisse d’une vague saisonnière classique de maladies respiratoires en tous genres, conduisant à des hospitalisations, labellisées « Covid » ? 

Que d’hypothèses accumulées, dont celle d’une efficacité vaccinale pourtant remise en cause partout dans le monde, contrastant avec cette insolente certitude sur ce qui est bon pour la protection de la population !

Les hypothèses ont valeur de conclusion

· Il faut avoir peur des non vaccinés, des futurs variants, la vaccination seule est efficace contre la maladie

· Le seul salut est de tendre vers une vaccination universelle, englobant les jeunes en bas âge pour lesquels le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable, avec des vaccins de moins en moins efficaces, dans un cycle infernal d’injections perpétuelles dont les effets indésirables commencent à prendre des proportions pour le moins inquiétantes, qui seront de plus en plus difficiles à camoufler.

Un modèle mathématique dont les conclusions sont dans les hypothèses, et les hypothèses elles-mêmes fausses : est-ce cela la Science ?

Néanmoins, reprises sans examen critique par l’ensemble des institutions de la République : la fraude scientifique et la politique font bon ménage.

La Politique et la Science n’en sortent pas grandies.

Azibane


Les sources de cet article

  1. La plainte de Vincent Pavan et Maître Heringuez : Une loi qui repose potentiellement sur un document faux
  2. La note du conseil scientifique : Note d’alerte du Conseil scientifique COVID-19, 20 août 2021, Fin de la période estivale et pass sanitaire

Le point sur… le consentement libre et éclairé

Quelques repères légaux sur une question à ne pas prendre à la légère.

Le consentement libre et éclairé est un droit détenu par chaque citoyen français dans le cadre médical. Le consentement est libre lorsqu’il est donné sans contrainte, et éclairé quand la personne a bénéficié de toutes les informations nécessaires à sa prise de décision.

Ce droit est garanti par plusieurs articles du Code civil et du Code de la santé publique.

L’article L1114 du Code de la santé publique dans son alinéa 4 dispose « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».

L’article L4127-36 du Code de la santé publique dispose « Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences ».

Le fait de recevoir un quelconque produit sans information sur ce qu’il contient ou ce qu’il peut engendrer comme effets secondaires représente pour le médecin une faute qui engage sa responsabilité civile et l’expose à une sanction disciplinaire.

La fabrique du consentement

« Qui contrôle les médias contrôle les esprits »  Jim Morrison

La manipulation de masse est une pratique de manipulation psychologique à des fins d’escroquerie, on la nomme également ingénierie sociale.

Dans ce type de manipulation les protagonistes usent de plusieurs techniques pour arriver à leurs fins.

La première technique couramment utilisée consiste à distraire les gens. Cette technique n’est d’ailleurs pas nouvelle puisque l’expression Panem et circenses, du pain et des jeux, est utilisée par Juvénal, un écrivain et poète de la Rome antique, pour fustiger l’immobilisme des citoyens de Rome face aux intrigues des dirigeants et aux manœuvres qu’ils emploient pour parvenir à contenir la population. L’idée est que du moment que le peuple a de quoi manger et se divertir, les puissants peuvent faire ce qu’ils veulent, ils ne seront pas inquiétés.

Depuis deux décennies les smartphones, les jeux vidéos puis les réseaux sociaux et la téléréalité ont pris une place omniprésente dans nos vies, nous plongeant dans une sorte d’hypnose permanente, occultant au fil du temps tout esprit critique.

La seconde technique de manipulation consiste à créer un problème puis à y apporter une solution. Prenons l’exemple du Covid, un nouveau virus arrive, inconnu, nos dirigeants plongent le peuple dans un état de peur paralysante en déclamant des « nous sommes en guerre » ou bien en faisant telle une litanie le décompte des morts quotidiennement. La population sous l’effet de la sidération n’attend plus qu’une seule chose, la solution. Il est facile alors de proposer le graal pour apporter une réponse. Ici le vaccin est la solution, seul sésame pour sortir de cette tragédie.

La troisième technique est de s’adresser au public comme à un enfant en bas âge. En diffusant à longueur de temps des publicités sous forme de clips infantilisants ou d’annonces se basant sur le registre des émotions (là on voit une grand-mère tellement heureuse de revoir ses petits-enfants après son injection), on ramène le public à un état enfantin.

Or quand on s’adresse au public comme à un enfant la réponse du public sera tout aussi dénuée de sens critique que le serait celle d’un enfant, c’est le principe de la suggestibilité. La suggestibilité est une disposition psychique qui conduit un sujet à se soumettre facilement à toute suggestion et à y obéir.

Une quatrième technique consiste à remplacer la révolte du peuple par la culpabilité. On y est les amis, les arguments n’ont pas manqué pour faire culpabiliser les gens : si tu ne mets pas de masque tu vas contaminer ta grand-mère, si tu sors pendant le confinement tu vas mettre en danger les autres, si tu ne te fais pas vacciner tu es un mauvais citoyen, etc. Cette technique est d’ailleurs remarquable pour créer la division au sein des familles, des cercles amicaux, jusque dans la sphère professionnelle. Et on le sait, « Diviser pour mieux régner » est une maxime vieille comme le monde. Pendant que nous nous divisons les gouvernants ont le champ libre pour mener à bien leurs actions liberticides.

Pour reprendre la conclusion de Jasper Mader dont cet article est inspiré :

« Ils nous ont dit quoi penser, comment penser, quoi croire et quoi dire et on se pense tous libres de nos choix, de nos pensées et de nos actions. En réalité on ne se rend pas compte à quel point on est manipulés et contrôlés mais rien que d’en être conscients c’est un premier très grand pas. »

Equinoxe

Edito

Nous inaugurons cette lettre et ce blog enQuête de plus de clarté et d’équilibre dans la masse d’informations circulant aujourd’hui soit dans les médias traditionnels soit sur les différents réseaux : nous sommes en effet persuadés que la crise que nous traversons aujourd’hui est aussi une crise de l’information.

Ne vous est il jamais venu à l’idée que l’information qui nous était délivrée n’était peut-être pas tout à fait la réalité ? N’avez-vous jamais trouvé étrange que les gens qui nous dirigent puissent changer en permanence de position sans que cela n’apparaisse suspect ? Avez-vous peut-être remarqué que les motifs invoqués pour mettre en place les différentes mesures sanitaires pouvaient évoluer ou disparaître sans jamais remettre en cause les mesures elles-mêmes ?

Que pensez-vous des gens qui descendent dans la rue tous les samedis dans la plupart des grandes villes françaises ? Sont-ils de dangereux militants obscurantistes ? Au lieu de manifester, ils pourraient s’occuper de leurs enfants ou aller au cinéma : serait-ce donc qu’ils ont de bonnes raisons de douter du narratif de nos dirigeants ?

On attribue à Abraham Lincoln cette citation : « Vous pouvez tromper certaines personnes tout le temps et tout le monde de temps en temps mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps ». Menons l’enquête !

En quête d’informations fiables, en quête d’une autre lecture du réel ? Suivez-nous – en version imprimée ou sur Internet – et n’hésitez pas à nous faire part de vos réactions.

Bonne lecture !

Bouteille à la mer

Bouteille à la mer (auteur anonyme)

Ce texte a été repris tel que publié sur les réseaux sociaux, les seules modifications sont des corrections orthographiques et la traduction des mots anglais. 

Parmi tous les vaccins que j'ai eus dans ma vie... coqueluche, diphtérie, tétanos, variole, rougeole, rubéole, oreillons, hépatite, méningite et tuberculose je n'ai jamais vu autant d’informations contradictoires sur un vaccin qui dit que je dois porter un masque et maintenir une distance sociale même lorsqu'on est entièrement vacciné.
J’ai jamais entendu parler d’un vaccin qui ferait en sorte que je pourrais encore contracter ou répandre le virus même quand je suis entièrement vacciné, je n’ai jamais été soudoyé par les établissements pour prendre le vaccin afin de gagner une voiture et / ou des prix en espèces. Je n'ai jamais été jugé si je ne le prenais pas. Je n'ai jamais été victime de discrimination pour les voyages, restaurants ou autres services réguliers.
Les vaccins que j'ai listés ci-dessus ne m'ont jamais dit ou fait sentir que j'étais une mauvaise personne de  ne pas les prendre.
Je n'ai jamais vu un vaccin qui menaçait la relation entre un membre de la famille et / ou un ami intime.
Je n'ai jamais vu un vaccin utilisé pour le gain politique. 
Je n'ai jamais vu un vaccin menacer le gagne-pain, le travail, l'école, etc.
Je n'ai jamais vu un vaccin qui permet à un enfant de 12 ans de remplacer le consentement de ses parents.
Donc, après tout ce que j'ai dit, quelqu'un peut-il me dire que je suis non éduqué, non informé, ne suivant pas la “science” de ne pas vouloir prendre ce vaccin jusqu’à ce que les essais cliniques soient terminés, dans plusieurs années?
Enfin, après tous les vaccins que j'ai répertoriés ci-dessus, je n'ai jamais vu un vaccin comme celui-ci qui discrimine, divise et juge une société ainsi.
C’est un puissant vaccin. Il fait toutes ces choses que j'ai mentionnées et pourtant, il ne fait pas ce que tous les autres vaccins que j'ai déjà reçus précédemment font et ont été conçus pour faire (et ont réussi à faire) qui est de... lutter contre la maladie visée.

Cher anonyme,

J’ai trouvé ta bouteille dans les eaux troubles de nos réseaux lancée tel un SOS, tel aussi un avertissement : « Sauvez-moi ! Sauvez-nous ! Sauvons-nous !… »

Tout d’abord contrairement à l’idée couramment répandue qu’il s’agit d’un vaccin comme un autre : Non il ne s’agit pas d’un vaccin traditionnel comme tous ceux que nous avons eus depuis notre enfance, il est le fruit d’une technologie nouvelle jamais utilisée à ce jour pour un vaccin et non encore totalement validée puisque nous sommes encore en phases expérimentales (et ce jusque fin 2022 pour Moderna et fin 2023 pour Pfizer).

Nous avons tous été interpelés par l’insistance de nos gouvernants à contraindre l’ensemble de la population à s’y soumettre, sans à aucun moment chercher à favoriser parallèlement la recherche sur des traitements qui pourraient nous aider à lutter contre la maladie, ou favoriser les traitements existants—allant même jusqu’à interdire aux médecins de les prescrire, traitements qui, au demeurant, ont fait leur preuve dans bien d’autres pays (Inde, Japon, Portugal…).

Interpelés aussi par l’insistance encore à ce jour à imposer ce vaccin expérimental aux jeunes âgés de 12 à 18 ans, puis dans un avenir proche aux plus petits alors même que la maladie ne les touche pas et surtout que le vaccin est devenu aujourd’hui beaucoup moins efficace.

Alors oui, il est plus que troublant de constater que pour imposer ce vaccin ils ont eu recours à de nombreux moyens, nombreuses sollicitations jamais utilisés jusqu’à ce jour, allant jusqu’à la distribution de cadeaux dans certains pays : glaces, air pods, tablettes… afin d’inciter les gens à se faire vacciner.

C’est vrai que le clivage introduit entre les groupes familiaux, amicaux, professionnels invite à la réflexion. Et même si le consentement d’un des deux parents est en fait toujours nécessaire, quels déchirements dans les familles !

Donc oui cher anonyme je ne peux que me joindre à toi pour dire aux gens qui nous liront : est ce que tout cela vous semble bien NORMAL ?

Pour les vaccins, tout va très bien, tout va très bien

Pourtant, il faut, il faut que l’on vous dise, on déplore un tout petit rien

Les sources des données officielles relèvent de très nombreux effets secondaires des vaccins Covid. Au 16 septembre 2021, le nombre de déclarations d’effets indésirables graves était de 22560 en France, dont 1206 décès (source : ANSM1).

Vous entendrez sans doute les médias traditionnels argüer :

« La déclaration d’un effet indésirable ne prouve pas le lien de cause à effet avec la vaccination. »

Eh bien, on est d’accord ! Mais il y a bien une ou deux choses troublantes là-dessous. Tout d’abord, c’est aussi le cas pour tous les autres vaccins et médicaments, et pourtant on peut constater un nombre de signalements très inquiétant dans le cas des vaccins Covid. La base de signalement des Etats-Unis, le VAERS, permet ainsi de constater qu’en seulement 6 mois la vaccination anti-covid représente 36% de la mortalité post-vaccinale dans tout le pays depuis 30 ans tous vaccins confondus (2)

De plus on ne parle là que des déclarations, or on sait que les effets secondaires sont mal recensés. La France en déclare 10 fois moins que les Pays-Bas3 par exemple, qui eux-mêmes n’atteignent probablement pas une transparence totale, et 2 fois moins que la moyenne européenne. Ah mince ! Si on commence à multiplier par 10 ou 100, faites le calcul…

« Le Covid est tellement grave, il y a urgence, on peut ignorer les effets indésirables des vaccins ! »

Effectivement, le rapport bénéfice risque est la boussole des médecins quand il s’agit de vacciner ou soigner en général. Bien sûr, on compte à ce jour environ 117 000 décès du Covid en France, c’est une maladie à prendre au sérieux.

Mais ce décompte des morts inclut toutes les personnes mortes avec le Covid. Sachant que leur âge moyen est de 82 ans… alors que l’espérance de vie en France est de moins de 80 ans pour les hommes et 86 ans pour les femmes.4

Ainsi, un patient en phase terminale d’un cancer mais positif Covid est toujours comptabilisé dans les morts Covid. A l’inverse, une personne mourant dans les 24 heures après une vaccination mais présentant des comorbidités est victime de ses comorbidités. Il suffit pour constater cela de lire les rapports de l’ANSM édités par vaccin.

On voit que d’un côté tout est fait pour maximiser le compte du nombre de morts du Covid et de l’autre tout est fait pour minimiser ou ignorer les risques de la vaccination.

Qui plus est, ce fameux rapport bénéfice-risque est à détailler par tranche d’âge. La plupart des effets indésirables graves des vaccins sont déclarés chez les moins de 64 ans, alors qu’ils n’ont que peu de chances de mourir du Covid !5

Cette logique à deux niveaux est subversive, mensongère, et elle porte un nom : c’est de la manipulation !

« On se vaccine pour protéger les autres. »

On raconte, notamment aux jeunes et aux personnes à faible risque, qu’il faut se vacciner pour protéger les autres. C’est bien de protéger les autres… Mais on ne leur dit pas que les effets indésirables à long terme ne sont pas évalués. Beaucoup de médecins signalent des problèmes, ces signalements ne sont plus isolés. Plusieurs  collectifs de chercheurs et de scientifiques ont lancé des appels à la prudence qui n’ont pas été entendus6.

On ne leur dit pas non plus qu’ils sont potentiellement porteurs du virus et aussi contagieux qu’une personne non vaccinée7.

Par contre on incite les personnes vaccinées à se sentir en sécurité. Les personnes vaccinées ne sont plus cas contact, et ne font plus de tests. De cette façon, il est facile de soutenir qu’elles ne sont pas porteuses du virus, c’est ce qu’on appelle une prophétie auto-réalisatrice !

Les sources de nos chiffres sont toutes officielles, et se basent en particulier sur le site de l’ANSM (Agence Nationale de Santé du Médicament).

Par contre notre raisonnement lui s’affranchit de la logique d’état. L’information est là, sous nos yeux, autour de nous : continuez à nous suivre, on l’explore avec vous !

Sources


  1. Rapport périodique publié sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament.
  2. Chiffre vérifiable dans la base de données du VAERS et relevé dans un article de plusieurs auteurs publié sur FranceSoir .
  3. Comparaison des déclarations d’effets indésirables entre différents pays et rapporté au nombre de doses injectées (voir le paragraphe Covid Belgique – Graphiques 42 – 10 septembre 2021).
    Cette comparaison a été effectuée par Christophe de Brouwer, MD, PhD. Professeur à l’Université Libre de Bruxelles et ancien président de l’École de Santé publique de l’Université Libre de Bruxelles.
  4. Espérance de vie en France en 2019, avant l’impact du Covid : source INSEE.
  5. Basé sur les chiffres de la base Eudravigilance, vérifiable et souligné dans l’article de 57 scientifiques sur la stratégie vaccinale Covid-19
  6. Appels à la prudence sur la stratégie vaccinale : voir référence précédente et l’appel de Rome lancé par plus de 5000 médecins et scientifiques.
  7. Sur la contagiosité potentielle des vaccinés, voir notamment la déclaration d’Antoni Fauci relayée dans plusieurs médias. Même si on admet que la probabilité d’être contagieux est plus faible chez les vaccinés, elle est très loin d’être nulle et devrait donc être prise en compte.