Les 30 et 31 mars à Marseille et le 1er et 2 avril à Massy.
C’est une première !
Un congrès international va se tenir en France avec des scientifiques français mais également américains sur le sujet de la crise Covid, des personnalités qui n’ont pas eu vraiment l’occasion de s’exprimer ces deux dernières années en dehors des canaux alternatifs.
Didier Raoult fera l’ouverture de la conférence le 30 mars.
Une première demi-journée sera consacrée aux questions biologiques avec de grands noms scientifiques comme Robert Malone inventeur des vaccins à Arn, Hélène Banoun (chercheuse à l’Inserm), Jean Michel Claverie (CNRS), Eric Guedj (Université d’Aix Marseille)…
Une seconde demi-journée sera orientée vers des questions épidémiologiques avec des personnalités tels que Laurent Toubiana (Inserm) , Philippe Colson (IHU Marseille), Harvey Risch de l’université de Yale…
La troisième demi-journée portera sur la question du soin des malades avec la participation entre autres du professeur Mac Cullough de l’université du Texas ou encore le docteur Gérard Maudrux intervenant sur le scandale de l’Ivermectine.
La dernière demi-journée aura pour thème les controverses intellectuelles et scientifiques autour de la crise COVID avec Vincent Pavan (Université d’ Aix Marseille), Alain Bonafous et Laurent Mucchielli (CNRS) et bien d’autres.
Ces conférences seront retransmises en direct.
Alors la question qu’on peut se poser c’est : « Est-ce que ce colloque pourra faire bouger les lignes ? »
On ne sait pas, mais quoiqu’il en soit il offre une belle opportunité de présenter enfin un discours différent de la parole unique assénée depuis le début de l’ère Covidienne.
Un petit espoir de lever le voile sur deux ans de propagande !
A ce jour – 8 mars 2022 – le nombre total d’effets indésirables des vaccins Covid-19 dans le monde est de 3 360 132, déclarés sur la base vigiaccess.org.
Pour retrouver vous-mêmes cette information : en bas de la page d’accueil, cocher la case et cliquer sur « search database » puis saisir « covid-19 vaccine », et enfin se rendre sur l’onglet « adverse drug reactions (ADRs) ».
Le professeur Montagnier est mort. Les élites politiques et médiatiques n’ont pas su mettre de côté leurs jugements partisans pour rendre un hommage digne de ce nom à une figure éminente de notre pays.
Le dernier hommage rendu au professeur Luc Montagnier le 22 février 2022 au cimetière du Père Lachaise, où une foule immense est venue se recueillir, offre une belle leçon d’humanité.
Tandis que nos dirigeants, totalement absents, nous prouvent encore une fois qu’ils se sont perdus dans les couloirs du pouvoir et de la déshumanisation, les hommes et les femmes de ce pays se rassemblent pour témoigner de leur profonde gratitude à l’égard de celui qui a été à l’origine d’une des plus grandes découvertes du XXème siècle.
Comment un prix Nobel de médecine co-auteur de la découverte du virus du SIDA peut-il avoir été ignoré à ce point par nos élites ?
Depuis longtemps déjà ses propos divergents l’ont mis à l’écart, la crise du Covid a enfoncé le clou et fait de lui un paria. Le dissensus est censé, sur le papier, être une valeur phare de la science. Les faits montrent un tout autre visage de la communauté scientifique.
Luc Montagnier en 2008 (image Wikipedia)
L’équipe d’enQuêtes exprime tout son respect à ce grand Monsieur qui a défendu ses convictions jusqu’au bout.
La Food and Drug Administration (l’organisme américain de contrôle des médicaments) et Pfizer avaient tenté l’un après l’autre, de verrouiller l’accès aux données des essais cliniques sur le vaccin Covid 19 … pendant 75 ans !
Ayant perdu devant le tribunal de Fort-Worth au Texas, ce dernier exige la mise à disposition d’ici la fin de l’année de l’intégralité des informations sur les injections géniques et les essais cliniques. Source : covidhub
Mardi 24 novembre 2020, Emmanuel Macron affirme ‘et je veux aussi être clair JE NE RENDRAI PAS LA VACCINATION OBLIGATOIRE’.
Au 20 H le 22 décembre 2020 sur TF1 Olivier Veran confirme ‘ la vaccination contre le coronavirus ne sera pas obligatoire, le président de la République s’y est ENGAGÉ, le premier ministre également’.
27 mai 2021 sur Brut, Emmanuel Macron déclare au sujet de la vaccination des soignants : ‘…je crois qu’il est plus efficace de passer par la conviction et aujourd’hui de ne pas rendre la vaccination obligatoire’.
Ah oui rappelez moi la prochaine fois, vrai un jour faux toujours...
12 juillet 2021, toujours Emmanuel Macron sur Brut: ‘Nous devons aller vers la vaccination de tous les français car c’est le seul chemin pour un retour à la normale. Dans un premier temps pour les personnels soignants et non soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pour personnes en situation de handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes âgées ou fragiles y compris à domicile, LA VACCINATION SERA RENDUE OBLIGATOIRE SANS ATTENDRE …’
Un Vaccin en cours d’expérimentation, pas du tout ! Dangereux, pensez donc, le vaccin est sûr et efficace !
2 juillet 2021, Olivier Veran sur Cnews : ‘De la même manière parmi les fake news qu’on entend il y aurait celle qui consiste à dire que le vaccin serait encore en cours d’expérimentation, c’est complètement faux, la phase 3 est terminée depuis des mois, elle est validée’.
Sur Cnews, le 17 septembre 2021, le docteur Brigitte Milhau dément: ‘je vous rappelle tout de même que le vaccin Moderna ARN est en phase d’expérimentation jusqu’en octobre 2022 et le Pfizer sera toujours en phase d’expérimentation jusqu’au 2 Mai 2023’.
15 octobre 2021, Olivier Veran sur LCP: ‘les rapports de l’ANSM qui sont publics et transparents ne déplorent à ce stade pas de cas avérés de décès imputables à la vaccination’.
Madame Martine Wonner, députée: ‘Au 14 octobre 2021, 648.662 effets secondaires, 26.000 décés…sur la base publique européenne d’Eudravigilance’.
En France, l’immense problème est que l’on ne reconnaît rien, pire on nie tout, mais dans d’autres pays on dédommage déjà des personnes victimes d’effets graves (Thaïlande, Australie…).
Serait ce parce qu’en France c’est l’état qui devrait indemniser ?
Olivier Veran sur BFM: ‘Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome humain’.
LCI le 9 décembre 2020: Anais Lefaucheux en s’adressant à Olivier Veran ‘alors vous, si on vous écoute il n’y a aucun risque que l’ARN s’intègre dans l’ADN, bizarrement le Dr Christian Velot, généticien moléculaire à l’université Paris Saclay, ne dit pas du tout la même chose que vous… alors pourquoi on vous croirait, ça fait des mois que vous nous racontez n’importe quoi ?’
Sur BFM TV, toujours ce même ministre déclare ‘non les vaccins à ARN messager ne perturbent pas la fertilité des femmes, c’est aussi quelque chose qu’on entend souvent’.
Alors qu’Alexandra Henrion Claude, généticienne, met en garde: ‘le problème de fertilité, il m’inquiète chez les femmes et chez les hommes’.
Sur RTL matin, le premier ministre déclarait ‘contrairement à ce que certains ont pu laisser croire, enfin en général les antivax, le vaccin est recommandé pour les femmes enceintes’.
Oui, sauf que ce ne sont pas que les antivax qui alertaient…
La haute autorité de santé au début de l’injection par le vaccin Pfizer écrivait que ‘l’administration du vaccin pendant la grossesse n’est pas conseillée‘. Lorsque le laboratoire Pfizer a fait ses études, il a complètement exclu les femmes enceintes et allaitantes.
Pour bien comprendre l’absence totale de cohérence dans cette crise il est intéressant de rappeler que le 2 mars 2021, la HAS change d’avis et stipule que malgré l’absence de données suffisantes au cours de la grossesse, l’administration des vaccins contre la Covid-19 chez la femme enceinte n’est pas contre-indiquée.
Olivier Veran sur BFM TV: ‘il n’y a aucun lien qui existe ni en théorie ni dans la pratique et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées, et je redis ici que les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé’.
Petite anecdote pour bien comprendre le slogan « le vaccin est sûr et efficace »
Un copain se fait vacciner (3ème dose) mi janvier, trois jours plus tard il attrape le Covid, un Covid selon lui bien méchant avec fièvre, maux de tête, fatigue, toux, bref, la totale ! Bon, selon ma vision des choses ça ressemble franchement à une sorte de bonne grosse grippe, un truc qu’on trouvait encore normal il y a trois ans !
Mais, revenons sur le slogan (ben oui ça ressemble plus à de la pub qu’à de la science non ?)
« le vaccin est sûr et efficace »
Attends, attends là, alors il n’empêche pas la transmission, il n’empêche pas la contamination et cerise sur le gâteau il vous colle la maladie !
Alors là faut m’expliquer : j’ai rien compris à la définition du vaccin ou bien on est sérieusement en train de nous embrouiller !
Il serait peut-être temps de se réveiller non ? Qu’en pensez vous ?
« Selon ce que je connais de l’histoire, je vois que l’humanité ne saurait se passer de boucs émissaires. Je crois qu’ils ont été de tout temps une institution indispensable. » – Arthur Koestler
Les boucs émissaires dans l’histoire
Depuis que l’humanité existe, il est un rituel qui ne change pas : à tous chaos nécessité est faite de désigner un coupable.
Guerres ou épidémies, nous allons voir que durant toutes les périodes de l’histoire, les dirigeants, pour juguler la peur des populations, se sentaient fondés à agiter le spectre du groupe responsable du chaos.
Et comme l’histoire se répète sans cesse, nous comprenons mieux, à la lecture des événements passés, que ces pratiques archaïques se perpétuent et perdurent dans nos sociétés dites « modernes ».
L’illustration la plus récente est celle faite par le président Emmanuel Macron dans sa déclaration « les non vaccinés, j’ai très envie de les emmerder » où il désigne ainsi la population à stigmatiser.
Même si tout le monde ou presque a compris que les non vaccinés ne contaminent pas davantage que les vaccinés, en particulier pour Omicron, nous voyons que cette population est devenue la cible, le coupable, le bouc émissaire. Nous entrons dans le domaine de l’idéologie, de la fantasmatisation et non pas dans le champ de la science ou de la raison.
Mais qu’est-ce qu’au juste un bouc émissaire ?
Selon le Larousse, un bouc émissaire est « une personne qu’on désigne comme la seule responsable de quelque chose ».
«Le non-vacciné correspond à ce que l’anthropologie désigne comme un bouc émissaire».
Faisons un petit retour sur l’histoire de l’humanité et son rapport au bouc émissaire dans des périodes épidémiques ou de pandémie.
Dans un exposé très complet, Damien Jeanne, historien spécialiste d’anthropologie sociale et d’ethnologie ainsi que de l’histoire des religions, nous livre une analyse très intéressante de l’histoire du bouc émissaire au travers des siècles.
La rétrospective que vous pourrez lire est tirée en grande partie de cet exposé.
Selon cet auteur on pourrait retrouver trois types d’utilisation du bouc émissaire dans l’histoire des épidémies.
Le bouc émissaire spontané comme remède aux épidémies
Le bouc émissaire ritualisé contre les épidémies
De l’usage du bouc émissaire dans la fabrique de l’opinion en temps de pandémie
Le malade au moyen âge est un être double, son mal pourrait provenir de péchés commis, d’avoir enfreint des règles religieuses, alors il devient pénitent pour éviter la contagion de sa faute et assurer son salut.
Comme si les malades étaient à la fois porteur du mal et du remède, semblable donc, au bouc émissaire.
Au moyen âge, la lèpre est perçue comme une correction divine consécutive à une transgression d’une règle religieuse, et en même temps pour faire pénitence un moine ou un chevalier peut demander à Dieu de lui donner la lèpre.
Même si sur un plan religieux (l’épître aux Hébreux 13.12.13 ou chez Jean 19) il est porté une image positive du lépreux, il en va tout autrement dans la conscience collective.
La désignation d’une victime émissaire permet à la collectivité de parer à la panique en désignant un coupable pour restaurer une communauté disloquée.
Dans ce contexte, pour la communauté, le lépreux est libidineux, impur, laid, mendiant, cupide, contagieux et il jette le mauvais œil, suscite l’effroi, il est donc légitime de le sacrifier.
Dans cette période moyenâgeuse, un autre groupe moins connus a subi des discriminations similaires : les cagots.
Parias parmi les parias, les Cagots peuvent être comparés aux intouchables indiens.
Le terme de Cagots désigne des femmes et des hommes ayant été victimes d’une ségrégation puis d’une discrimination au cours d’une période qui s’étale du XIII e siècle au XIX e siècle, dans une aire géographique chevauchant les Pyrénées qui s’étend du Sud de la Garonne au Nord de l’Èbre. Ces personnes, injustement suspectées d’être porteuses de lèpre (lèpre héréditaire ou lèpre blanche) ou descendants d’une race maudite (Goths, Cathares, Sarrasins, etc.) étaient repoussées en marge de la société. Parmi la longue liste des interdits on peut citer : le mariage avec des non Cagots, l’exercice de certains métiers en rapport avec l’eau, la terre, le feu, les aliments, porter une arme ou un objet tranchant… À l’origine des ces interdictions, on retrouvait la peur de la lèpre dont les cagots étaient tous censés êtres infectés. La pérennité de la ségrégation était permise par l’obligation de l’endogamie entre cagots.
Malgré ces interdictions draconiennes, ils peuvent occuper des postes de chirurgiens ou sages-femmes et on leur prête des vertus de guérisseurs. La plupart sont charpentiers, vanniers, tisserands, maçons, parfois réputés et appréciés pour leur travail, d’autant que, généralement, ils ne reçoivent pas de salaire et sont seulement exonérés d’impôt.
Dans certains endroits, ils devaient porter une patte de canard ou d’oie d’étoffe rouge cousue sur leurs vêtements.
On retrouve ici cette notion double d’un groupe à la fois responsable de tous les maux mais dans un même temps renvoyant une image positive des pouvoirs qu’on leur prête.
Toujours d’après Damien Jeanne, on retrouve l’usage du bouc émissaire dans la fabrique de l’opinion en temps de pandémie quatre siècles plus tard : Louis Pasteur devint ainsi la bête noire des médecins puisqu’il réussit là où ces derniers échouèrent, et fut alors vivement critiqué et censuré dans la presse écrite.
Lors de la cinquième pandémie de choléra, en 1884, Louis Pasteur figura dans le journal républicain « le grelot » où il fut caricaturé en matamore, dans une parade de cirque, marchant en sens inverse de son concurrent l’allemand Robert Koch qui avait découvert cette année-là l’agent du choléra. Robert Koch avait été appelé dans la ville comme expert.
Louis Pasteur fut dépeint comme un homme arrogant de mauvaise foi, incapable de découvrir quoi que ce soit, soit disant guérisseur qui s’enrichit sur la crédulité des foules.
Les boucs émissaires des temps modernes
Ceci n’est pas sans nous rappeler l’histoire du professeur Raoult, microbiologiste, spécialiste des maladies infectieuses, auteur de très nombreuses publications scientifiques à qui le gouvernement de l’époque avait confié l’IHU de Marseille, structure destinée à être un établissement d’excellence financée à coup de millions.
Décrit en mars 2020 comme « l’un des meilleurs infectiologues de la planète », selon Le Point « ponte de la recherche scientifique », le Professeur Raoult est connu pour avoir fait évoluer, en collaboration avec son équipe, via leurs nombreux essais cliniques et leurs brevets, la science des bactéries de manière significative (cf Wikipedia).
On se demande d’ailleurs comment un homme si brillant, d’un coup d’un seul, est passé du statut de héros à celui de charlatan ou gourou.
A la lumière de ces deux derniers exemples très similaires dans le fond, il est intéressant de se pencher sur le mécanisme de la désignation d’un bouc émissaire, en l’occurrence le professeur Raoult, appliquée à notre civilisation moderne.
Après des années de reconnaissance internationale, dès mars 2020 la presse traditionnelle s’en prend au Professeur. Des articles de presse le décrivent comme un thaumaturge dont les propos, notamment sur la chloroquine, ne sauraient être validés par la science.
Sur ces mêmes médias, le professeur Raoult est dit ambigu, susceptible, ne supportant ni la contradiction, ni la concurrence.
Pour d’autres journaux dont nous tairons la superficialité, il est décrit non pas sur ses compétences scientifiques mais sur son apparence. On peut lire : cheveux longs, bague de biker… comme s’il était plus intéressant de juger un individu sur son apparence physique que sur ses qualités scientifiques.
Nous sommes définitivement entrés dans la civilisation de l’image, de la « peopolisation », le niveau zéro du jugement.
Quand on y réfléchit, tout ceci repose sur une étrange médisance fort peu scientifique.
Libération va même jusqu’à dire que le professeur Raoult serait potentiellement cupide puisque les prix des consultations seraient considérables et Mediapart n’hésite pas à titrer « les ravages d’une expérimentation sauvage sur la tuberculose ».
Or comme il a été démontré que toutes ces assertions étaient fantasmatiques, de la désignation au bouc émissaire il n’y a qu’un pas.
‘Dénigrer et censurer c’est exclure, c’est sacrifier de manière symbolique des victimes expiatoires pour créer du consensus auprès d’un public en proie au doute permanent par l’accumulation d’informations contradictoires.’
Ici le bouc émissaire n’est pas mort il est exclu du champ médiatique, donc rendu à une mort sociale.
Un pour tous ou tous pour un
Les personnages publics ne sont pas les seuls à être désignés comme des coupables.
Au cours de cette pandémie de Covid 19, nous avons pu constater les multiples contraintes imposées aux citoyens (confinement, distanciation sociale, masques puis vaccination). Chaque habitant devient responsable des dynamiques épidémiologiques et s’il enfreint les règles, le citoyen devient maudit. Cela se traduit par l’opprobre jeté par nos dirigeants sur des groupes; parfois ces groupes contaminent les autres par leur inconscience ou plus récemment avec la vaccination, d’autres groupes sont considérés comme dangereux, tels les non vaccinés qui, refusant de se soumettre, sont jugés irresponsables.
Au cours de cette crise les « boucs émissaires » fluctuent au gré de l’évolution de la pandémie et du bon vouloir de nos dirigeants.
Les touristes aux Antilles sont responsables de la propagation de l’épidémie donc on ferme les plages; la jeunesse non vaccinée est elle aussi coupable de produire des clusters par son agglutination dans les bars ou les boites de nuit; les enfants quant à eux contaminent leurs grands-parents, et enfin la population des « non vaccinés » est devenue dernièrement le groupe à stigmatiser.
Au fond, la question à laquelle il serait intéressant de répondre c’est : pourquoi ?
Pourquoi tant d’acharnement de la part de nos dirigeants passés et actuels à vouloir désigner une victime ou des victimes émissaires ?
Est-ce pour braquer le projecteur sur un individu ou un groupe d’individus afin de focaliser les peuples dans cette direction tandis que les élites en profitent pour faire passer des lois liberticides ou toutes autres actions contestables ?
Ne serait-ce pas une manière de faire diversion pour se déresponsabiliser ou pire, pour cacher la stratégie d’un plan élaboré par les élites et le mener à bien jusqu’au bout ?
Cette cible posée sur une population avec une étiquette, par exemple ici « les anti vax » alors que l’on sait parfaitement que la grande majorité de ces personnes ne le sont pas, permet aux élites de détourner l’attention des masses. Ce qui est profondément dommageable, c’est que dans ces temps de crise cette simple désignation amène des gens ordinairement respectables à déverser d’un seul coup des propos de haine d’une violence inouïe qui auraient été rendus totalement inacceptables en temps normal.
Prenons l’exemple de Martin Hirsch quand il remet en cause la gratuité des soins (Ouest France le 27/01/2022) pour les non vaccinés, qui n’ont à ce titre d’ailleurs même pas enfreint la loi puisque la vaccination n’a jamais été déclarée obligatoire ! Comment Martin Hirsch, directeur de l’AP-HP ose-t’il remettre en cause un accès aux soins financés par les contribuables et non par l’état ?
En réalité cette désignation de la victime émissaire c’est une façon de s’en prendre à l’autre non pas pour ce qu’il est ou véhicule, mais du fait de nos nécessités psychiques.
Damien Jeanne, historien de l’époque médiévale faisait une remarque intéressante suggérant que « moins les mesures sont efficaces et plus il est important de chercher des gens réputés responsables ».
Nous comprenons bien au travers de cet exposé que l’histoire, quelles que soient les époques, ne change pas, elle se répète encore et encore.
A la décharge de ceux qui n’ont pas vu la supercherie, les générations changent et les nouvelles générations n’ayant pas vécu les traumatismes des guerres précédentes ne voient pas la manipulation à laquelle elles sont soumises. Il est donc plus facile pour des élites, habiles à manipuler l’opinion et virtuoses dans l’utilisation des techniques d’ingénierie sociale, de les faire tomber dans leur piège.
Comme l’a dit Mathieu Slama : «Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent».
Nous finirons en citant cette alerte lancée par Daniele Dehouve et Christophe Lemardelé :
Nous, anthropologues et historiens des religions, sommes inquiets de voir surgir à nouveau ces logiques d’accusation, de harcèlement, d’exclusion, comme si l’enseignement de l’histoire n’était qu’un perpétuel échec.
Mensonges et contradictions prises sur le vif… chapitre 2 !
Les chiffres du COVID : comment ça vous n’y comprenez rien, faut y mettre un peu du vôtre quand même !
Le 14 octobre 2020 : Emmanuel Macron d’annoncer sur BFM Tv : « nous avons 32 % de nos services de réanimation qui sont occupés par des concitoyens qui ont le covid »
Le 29 Octobre2020 : C’est au tour de Jean Castex dans le cadre du plan de reconfinement face aux députés de déclarer :
« 60 % des lits de réanimation sont occupés par des patients Covid soit 2 fois plus qu’il y a 15 jours »
Et la réalité dans tout ça ?
Marie Estelle Dupont sur Cnews le 12 novembre 2021 nous informait du contenu d’un rapport de l’ATIH (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation) chargée de compiler les données sur les hospitalisations. « En 2020, seulement 2 % des hospitalisations étaient liées au Covid, on a donné l’impression que les services étaient plein à craquer de patients Covid et en fait ce n’était pas le cas et le taux d’occupation des lits de réanimation par des patients Covid était de 5 % » (page 4 du rapport).
Réanimation : Combien vous dites ?
Allocution d’Emmanuel Macron du 28 octobre 2020 : « Quoique nous fassions, près de 9000 patients seront en réanimation à la mi-novembre ».
Une semaine plus tard Olivier Véran rectifie en parlant d’un risque de 7000 personnes en réanimation…
Allocution d’Emmanuel Macron du 28 octobre 2020 toujours : « nous pourrions, certains le préconisent, ne rien faire et assumer de laisser le virus circuler et d’ici quelques mois c’est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer ».
Combien en réalité ?
Sur LCI, 3 semaines plus tard « On est très loin des 9000 patients en réanimation évoqués par Emmanuel Macron il y a 3 semaines, aujourd’hui 17 novembre nous sommes à 4838 alors que nous sommes au pic, nous sommes donc en dessous, il y a bien là un mystère ».
La contamination
Sur BFM Tv le 13 juillet 2021 Olivier Veran affirme au sujet du vaccin « Vous réduisez par 12 le risque de contamination des autres et par 20 le risque de faire une forme grave ».
Et pourtant …sur la chaine Delta, début septembre 2021, en présence d’Olivier Veran, un journaliste déclare « ça veut dire que le virus continue de circuler chez les vaccinés et qu’il sera impossible de contenir la pandémie par la seule vaccination… »
Alors 6 mois plus tard où en est on ?…
« Il n’est pas admissible que le refus de quelques millions de Français de se faire vacciner mette en risque la vie de tout un pays et entame le quotidien d’une immense majorité de Français », a déclaré Jean Castex vendredi 17 décembre lors de l’annonce de la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal.
RTL, le 21 décembre 2021 « Le gouvernement a prévenu et assume, il fera peser la « contrainte » sur les personnes non-vaccinées.
Ah oui en effet 5,6 millions de personnes non vaccinées qui mettent en danger la vie de tous les français… au fait rappelez-moi combien de personnes ont contracté Omicron déjà ?
Alors oui en effet ça pose question « la vaccination est sûre et efficace » permettez-nous d’en douter, ce cher vaccin n’empêche ni de transmettre, ni d’être contaminé, rappelez-moi la définition du vaccin : Substance d’origine microbienne (micro-organismes vivants atténués ou tués, substances solubles, ARN messager) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection (Larousse)
La forte montée des contaminations liées à omicron suit en réalité la forte montée des doses de rappel, et ceci dans un grand nombre de pays, de quoi s’interroger …
Premier épisode de la saga des mensonges et contradictions de nos gouvernants.
‘Nous savons qu’ils mentent, ils savent que nous savons qu’ils mentent, nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent, et ils continuent à nous mentir.’
Alexandre Soljenitsyne
Nous avons eu envie d’écrire cette saga sur les mensonges et contradictions car l’homme oublie.
Des déclarations quand elles sont étalées dans le temps nous font parfois oublier que quelques mois plus tôt ces mêmes annonces avaient porté un discours diamétralement opposé.
Or depuis le début de cette crise, le gouvernement enchaîne contradictions et mensonges.
Il est vrai que nous aurions pu nous dire, du moins au début de cette crise : ‘pardonnons-leur ils tâtonnent ! c’est un nouveau virus…’
Oui, sauf que deux ans plus tard les choses ne changent pas, elles s’aggravent !
Chapitre 1 : Les masques et les écoles
Les masques : C’est utile ou pas ?
Complètement inutiles…
Le 29 février 2020 CNews, le carrefour de l’info, Olivier Veran déclare ‘Personne n’a besoin de porter un masque si un médecin ne vous demande pas d’en porter un’.
Le 13 mars 2020, Edouard Philippe déclare sur TF1 ‘ faire porter un masque en population générale ça ne sert à rien’. Sibeth Ndiaye déclare même sur BFM ‘on a une utilisation qui n’est pas bonne ça peut même être contre productif‘.
Ah tiens : masques obligatoires partout, puis tout le temps !
13 avril 2020 : Allocution d’Emmanuel Macron : ‘L’état à partir du 11 mai en lien avec les maires devra permettre à chaque français de se procurer un masque grand public, dans certaines situations comme dans les transports en commun, son usage pourra devenir systématique‘.
14 juillet 2020, toujours Emmanuel Macron : ‘je souhaite que dans les prochaines semaines on rende obligatoire le masque dans tous les lieux publics clos’.
Puisque rien ne change : Le Conseil d’État a jugé ce mardi 11 janvier 2022 que le port du masque de protection contre le Covid-19 ne pouvait être imposé en extérieur qu’à certaines conditions, mais que les préfets pouvaient délimiter des zones larges pour que la règle soit compréhensible. Alors même que l’on sait – beaucoup de scientifiques en conviennent – que le masque en extérieur est totalement inutile. Retour en classe le lundi 3 janvier 2022, rien ne change : le masque en tout temps à l’école.
Et que tout empire : dans les écoles malgré de vives protestations relatant la maltraitance subie par les enfants en raison du port du masque, jamais ce dernier n’a été remis en question. Enfin, dans les lieux clos, ils n’a jamais cessé d’être obligatoire.
LES ECOLES
La fermeture des écoles : vous n’y pensez pas …
4 mars 2020 : Sibeth Ndiaye affirme sur France Inter : ‘On ne va pas fermer toutes les écoles de France. Comme quand il y a une épidémie de grippe, on ne ferme pas toutes les écoles de France’.
12 mars 2020 sur France Info, Jean Michel Blanquer déclarait ‘Nous n’avons jamais envisagé la fermeture totale des écoles’.
Ah mais non si…
Allocution d’Emmanuel Macron du 12 mars 2020 : ‘Dès lundi, les crèches, les écoles, les collèges, les lycées et les universités seront fermés’.
Ndlr : Nos gouvernements ont trouvé le moyen de modifier les règles de la vie sociale à 38 reprises entre fin octobre 2020 et le début avril 2021 soit une modification tous les 4 jours.
Levons les masques !
Depuis le début de cette crise, il est un sujet qui nous préoccupe quotidiennement, nous parents, et que nous avons jugé important de traiter : les masques. Faisons un point sur le port du masque chez l’enfant.
De nombreux psychologues, psychiatres, orthophonistes… telle Marie Estelle Dupont intervenue maintes fois sur les médias (Le Figaro, Sud Radio, YouTube…), alertent depuis quelques temps sur les dangers tant physiques que psychiques induits par le port du masque chez les enfants.
Et leur analyse fait froid dans le dos:
Difficulté de concentration,
Défaut d’oxygénation entrainant fréquemment des maux de têtes et l’abaissement des défenses immunitaires,
Création d’un climat de défiance au monde au moment où l’enfant se construit
Stress et anxiété qui sont deux freins absolus à l’apprentissage.
Puis, le 10 février 2021 c’est au tour d’un collège de pédopsychiatres d’alerter sur les conséquences des mesures sanitaires sur les enfants. Ils énumèrent les nombreux effets subis en raison du port du masque tout au long d’une journée d’école, sans compter le harcèlement subis par ces enfants quand ils portent mal leur masque amenant ceux-ci à ne simplement plus vouloir aller à l’école. Et la liste de ces effets est longue :
Troubles du sommeil et du comportement,
Pleurs répétés,
Scarifications,
Retard de parole et d’apprentissage,
Anxiété et peur grandissante,
Addictions,
Repli sur soi,
Symptômes dépressifs,
Somatisation,
Augmentation des violences familiales,
Pensées suicidaires.
Mais, faisant fi du cri d’alarme des spécialistes de l’enfance, les pouvoirs publics, en nous déconfinant, ont imposé le port du masque partout, tout le temps, même à l’école et sans distinction de conditions. Outre le fait que le masque est très souvent, pour ne pas dire tout le temps mal utilisé par les enfants et donc inutile, il engendre des conséquences immédiates pour le moins délétères. Et le constat après plusieurs mois de recul est effrayant.
Le philosophe René Chiche, déclarait dans un entretien sur la chaine Sud Radio: ‘Les dégâts collatéraux, psychiques sont terribles, depuis plus d’un an, on massacre les jeunes dans l’indifférence la plus générale‘. ‘On apprend aux enfants à lire avec un masque c’est très grave il n’y a aucune étude qui ait été faite sur ces dégâts-là‘.
Tout laisse à penser, en effet, que le port du masque chez l’enfant, en particulier à l’école, induit un retard d’apprentissage qui va impacter cette génération durant toute sa vie et en faire des adultes craintifs et névrosés. Voilà des enfants plongés dans une terreur dont ils ne se ressaisiront probablement pas. Mais finalement n’est-ce pas là toute la quête de nos élites ? Affaiblir les populations, les apeurer pour mieux les contraindre et les contrôler?
René Chiche encore, rappelle que ce phénomène de maltraitance des enfants n’est pas nouveau. Il y a quelques années, lors de la survenue d’une série d’attentats, le gouvernement avait déclaré un état d’urgence terroriste et déclenché le fameux Plan Vigipirate. Parmi les mesures, on demandait aux enfants lorsqu’ils étaient en classe de simuler une attaque terroriste et de se cacher sous leur bureau. Voilà comment dès le plus jeune âge nos dirigeants installent les enfants dans la peur.
Heureusement depuis quelques temps de nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer cette maltraitance sans précédent et tenter d’y mettre un terme. France bleu nous informait le jeudi 2 décembre 2021 qu’un collectif de 400 parents attaquaient l’état devant la cour européenne des droits de l’homme sur la question du port du masque. Des collectifs de parents se créent un peu partout en France dont les ‘mamans louves’ ou ‘parents en colère’ qui se battent d’arrache-pied pour sauver les enfants de toute cette folie.
Pour finir reprenons une phrase de Marie Estelle Dupont qui semble parfaitement résumer la situation.
Nous sommes devenus si craintifs, si précautionneux, si orgueilleux vis à vis de la mort que nous inversons les valeurs; nous faisons peser le poids de la responsabilité des plus âgés sur les plus jeunes.
Arguments pour échanger avec une personne acceptant la politique sanitaire actuelle.
Vous avez tous connu, dans des échanges avec vos proches, vos amis ou votre voisin, le moment où l’on vous donne des arguments du type annonce publicitaire : « tous protégés, tous vaccinés » ou « on peut discuter de tout sauf des chiffres »… arguments vous incitant à rentrer dans la norme édictée par nos dirigeants.
Vous avez tous probablement eu ce grand moment de solitude d’avoir envie de leur faire la démonstration que les slogans publicitaires, c’est bien pour vendre des machines à laver mais pas pour parler de santé.
Voici donc un petit condensé d’arguments à leur opposer.
Affirmation numéro 1: Le vaccin te protège et protège les autres !
Arguments : Un vaccin doit protéger contre une maladie généralement dangereuse pour l’homme et ensuite protéger les autres. Aujourd’hui il est prouvé que le vaccin ne protège pas durablement contre la maladie et n’empêche pas la transmission.
Affirmation numéro 2 : Mais le vaccin te protège quelques mois !
Arguments : c’est vrai, quelques mois, mais la protection est faible et décroît rapidement. Tu devras donc te revacciner régulièrement. Tu connais, toi, un vaccin qui implique de se vacciner tous les 5 mois, sans savoir combien de doses il te faudra, ni les conséquences sur ta santé vu qu’il est en phase expérimentale ?
Affirmation numéro 3 : Mais ça protège des formes graves !
Arguments : Oui, pour les personnes très âgées ou qui ont des comorbidités, c’est possible. Mais pour la majorité de la population qui fait une forme banale et qui n’ira donc jamais en réanimation, à ton avis, à quoi ça sert ?
Affirmation numéro 4 : C’est un acte citoyen !
Arguments : Alors ça ne protège pas et ça permet la transmission. Par contre, ça te donne le droit d’avoir le passe et du coup tu peux contaminer tout le monde puisque tu es vacciné et que tu ne te testes pas. C’est ça, ta définition de la citoyenneté ?
Affirmation numéro 5 : Nos gouvernants ne peuvent pas nous vouloir du mal quand même ?
Arguments : Et bien c’est là toute la question ! Puisque le vaccin ne fonctionne pas mais qu’on met un point d’honneur à contraindre tout le monde, ça interroge… D’autant que, par exemple, pour la grippe tous les ans, on change de vaccin, on l’adapte. Là, c’est toujours le vaccin d’origine qui est proposé ! Pourquoi ne l’a-t-on pas adapté alors que le virus a muté de nombreuses fois ? C’est peut-être pour nous contrôler ?
Affirmation numéro 6 : T’es complotiste en fait !
Arguments : Ecoute, si tu as une réponse à toutes ces incohérences, je prends ! Mais il va falloir, avant cela, que tu m’expliques : pourquoi ? Pourquoi, pendant cette crise, alors qu’il y avait apparemment tant de morts, on a mis tous les budgets pour contrôler les gens dans tous les lieux de loisirs par des policiers et on a fermé des milliers de lits d’hôpitaux ? Pourquoi on a freiné et refusé de financer des traitements prometteurs et sûrs ? Et que dire de l’argent gaspillé pour recruter des vigiles à l’entrée des hôpitaux ? Cet argent aurait pu être destiné aux hôpitaux et aux scientifiques pour tenter de se battre contre le virus et non contre la population…