Vaccins contre la Covid 19 et effets indésirables sur le cycle féminin: on en parle ou pas ?

Depuis l’été 2021, de nombreux signalements font état de perturbations du cycle féminin après une injection à l’ARN messager (Pfizer et Moderna). On entend parler de règles anormalement tardives, plus longues, exceptionnellement abondantes et douloureuses, voire… post-ménopausiques.

Des témoignages de femmes faisant état de troubles hormonaux affluent depuis le lancement de la campagne de vaccination contre la Covid 19 et notamment après la deuxième injection. Le ministre de la santé Olivier Véran s’était voulu rassurant et avait confirmé en septembre dernier les nombreuses remontées sur « des situations temporaires et bénignes, ce qui ne veut pas dire qu’elles ne peuvent être mal vécues »1 concernant des troubles des menstruations mais confirmant toutefois ne disposer d’aucune information sur des événements d’une importante gravité.

Illustration de Kristine : femme prostrée, nue et de dos

Il s’agit majoritairement « d’événements non-graves, de courte durée et spontanément résolutifs »1 avait indiqué l’ANSM (Agence Nationale de la Santé et du Médicament). Ces évènements se manifestent le plus souvent par des « saignements anormaux, des retards de règles et des aménorrhées » et surviennent aussi bien après la première injection que la seconde. Ces effets indésirables sur le cycle féminin ont fait l’objet d’une attention toute particulière de la part de l’ANSM. Selon leur fiche de synthèse relative aux cas d’effets indésirables des vaccins Covid-19, mise à jour le 4 avril 2022, 152 308 cas d’effets secondaires ont été rapportés depuis le début de la vaccination. Parmi ceux listés, on trouve les troubles menstruels: 4 432 cas en tout, dont 3 870 déclarés après une vaccination Pfizer et 562 après une vaccination Moderna. L’ANSM a déclaré maintenir ces événements sous surveillance et a conseillé aux patientes qui pourraient ressentir ces troubles de consulter un médecin, sans toutefois affirmer de lien direct entre le vaccin et ces dérèglements.

Le 4 avril 2022, deux collectifs « Où est mon cycle » et « Navigants libres » ont été auditionnés au parlement européen pour dénoncer les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 sur le cycle menstruel. Le 6 avril 2022, ces deux mêmes collectifs étaient entendus au Sénat, par une commission d’études sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-192, 3, 4. Ces auditions n’étaient pas publiques et les victimes avaient reçu un lien de visioconférence pour témoigner de chez elles; on continue ainsi dans l’aberration du sans contact. Le Sénat a-t-il peur de connaître les conséquences de la vaccination massive sur la population ? En effet, il semble urgent de se poser la question car cette même commission d’études a pour but d’éclairer les parlementaires avant qu’ils ne prennent une décision; puisque tout semble indiquer aux vues des publicités véhiculées par les médias mainstream que nous nous dirigeons vers une quatrième voire une cinquième dose.

Pour cette occasion, France soir a organisé une table ronde5 regroupant ces deux collectifs avec Diane Protat, avocate au barreau de Paris, représentante du collectif des « Navigants libres » et Mélodie, créatrice du collectif « Où est mon cycle ». Étaient également présentes autour de la table ronde Virginie Joron, députée européenne Identité et Démocratie et le Dr Kayser, gynécologue.

Pour résumer l’interview de France soir5 – dans notre société et depuis des générations, le cycle menstruel est un sujet tabou, alors imaginez-vous quand il faut parler de vos effets secondaires; on a complètement basculé dans un déni officiel. Mélodie, victime de troubles menstruels après sa vaccination s’est rendue compte en parlant autour d’elle qu’elle était loin d’être seule, mais rares étaient celles qui abordaient le sujet spontanément. Elle lance en janvier un compte Instagram @Vaccin_menstruel qui recense et publie des témoignages de femmes: en quelques mois, elle compte plus de dix mille abonnés et recense plus de trois cents témoignages. Son compte est suivi dans le monde entier. Elle dit « beaucoup de femmes sont concernées et se sont manifestées » , « j’ai voulu créer un espace dédié à la libération de la parole » pour toutes ces femmes qui se retrouvent confrontées à ces effets indésirables et qui sont pour certaines dans une impasse thérapeutique. Mélodie déplore surtout le silence de certains médecins qui sont dans le déni et qui refusent d’admettre le lien entre la vaccination et les effets sur le cycle menstruel. Nous nageons en pleine omerta.

Diane Protat, avocate et représentante du collectif des « Navigants libres » , a fait le même constat: de nombreux problèmes hormonaux mais également des problèmes de circulation sanguine sont recensés par les hôtesses de l’air; ces troubles les empêchent ainsi de pratiquer leur métier et les mettent en danger à haute altitude. Maître Protat regrette le peu de remontées des effets secondaires par la médecine et même par la médecine du travail: « il est très compliqué de se faire entendre »5.

« Ce ne sont pas des cas graves, ça reviendra »1 nous a dit Olivier Véran. On vous dira aussi que c’est le stress ou la fatigue, qu’il y a beaucoup d’éléments qui entrent en compte quand il s’agit de fertilité et de cycle menstruel, qu’il n’y a pas que le vaccin. Remettons l’église au milieu du village et posons-nous les bonnes questions, car perdre son utérus, ça se passe à quel âge ? A-t-on à faire à quelqu’un qui a déjà trois enfants, qui projette d’avoir un enfant ou bien à une adolescente ? L’ANSM parle « des saignements anormaux, des retards de règles et des aménorrhées »1 mais mettons des mots sur des maux. Ce qu’on entend et ce dont ces femmes et ces jeunes filles se plaignent se sont des métrorragies, de l’endométriose, de l’adénomyose, des règles douloureuses qui causent des incapacités de travail, une impossibilité de se rendre à l’école, des aménorrhées, des ménopauses précoces (certaines à partir de 20 ans), des atrophies de la poitrine, des hystérectomies, des problèmes thyroïdiens qui ont des conséquences gynécologiques, des fausses couches, des morts de bébés in utéro,… Alors non, le vaccin n’est pas tout merveilleux et pour certaines femmes et jeunes filles, ça ne reviendra pas Monsieur Véran, car quand on vous enlève votre utérus, qu’on vous diagnostique une préménopause précoce, une endométriose ou une adénomyose, ça ne peut pas revenir.

Le Dr Kayser, gynécologue, nous explique5 que la protéine spike est produite en réponse au vaccin et en quantité propre à la personne vaccinée; cette quantité est non standardisée. Cette protéine va donc diffuser dans l’organisme avec différentes conséquences en fonction des endroits où elle va se localiser le plus. De nombreuses protéines spike ont été retrouvées dans les ovaires, l’utérus mais aussi dans les muqueuses vaginales; ce qui a pu et peut expliquer une précipitation des cas indésirables sur le cycle menstruel dans la chronologie des vaccins. Certaines femmes ont soudainement des saignements de manière incontrôlée, peu de temps après leur première ou leur deuxième dose, et pour lesquels il n’y a pas de réponse thérapeutique au traitement habituel. Encore une énigme pour le corps médical ! « Mes patientes non vaccinées saignent moins facilement » déclare le Dr Kayser. Simple coïncidence ? Cependant, pour plusieurs patientes vaccinées, la seule solution reste l’hystérectomie que l’on pratique aujourd’hui chez des personnes ménopausées mais aussi chez des jeunes filles. Croyez-le ou non, mais dans le cas d’une hystérectomie, « il n’y a pas de recherche de protéine spike. Alors que l’on pourrait savoir, on ne fait pas les recherches pour savoir » a déploré le Dr Kayser. Pourquoi n’analyse-t-on pas tous les utérus qu’on enlève pour comparer la qualité des tissus ? Il semblerait bien que personne ne veuille réellement comprendre. Comment expliquer que ce soit le parcours du combattant pour remonter les effets indésirables sur le site de l’ANSM ? Il semble que la France soit l’un des pires pays acceptant de reconnaître des liens entre effets post vaccinaux et le vaccin lui-même. Tout passe par le corps médical qui a toujours nié le lien entre effets indésirables et vaccins, expliquant ainsi une sous-déclaration des effets secondaires auprès de l’ANSM. Mais comment expliquer que ces effets soient autant minimisés par les médecins généralistes ? Seules les outrances verbales d’Emmanuel Macron, l’omerta du corps médical et le déni du ministre de la Santé rendent cette réalité inaudible pour une majorité de Français. Dans d’autres pays, la démarche est différente et fréquemment individuelle: la population saisit directement les autorités sanitaires augmentant ainsi le nombre de remontées des effets indésirables. La situation est très variable d’un pays à l’autre, il est donc difficile d’établir un taux raisonnable de sous déclaration. Dans de nombreux pays où les médias alertent, les indemnisations des victimes ont déjà débuté. En effet, la toxicité des vaccins est aujourd’hui reconnue par plusieurs états: le Japon, où les médias alertent et relatent les histoires des victimes, Taïwan, l’Australie, la Thaïlande, Singapour, le Québec,…7 En France, il semble évident que les journalistes ne font pas leur travail et les scientifiques non plus.

Qu’en est-il de la responsabilité ? Ces femmes et jeunes filles pourront-elles être un jour indemnisées pour le préjudice qu’elles ont subi au nom du tout vaccinal ? Les laboratoires sont exonérés des responsabilités; c’est bien une première. L’état n’est également pas responsable, en effet, la vaccination n’a jamais été obligatoire même si dans les faits cela y ressemblait beaucoup. L’Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales (ONIAM) a généralement pour mission d’organiser le dispositif d’indemnisation des victimes d’accidents médicaux. Est-ce que ce sera le cas pour les victimes de ces injections expérimentales ? En attendant, notre cher gouvernement quant à lui se charge activement de faire la promotion de la vaccination contre la Covid-19; une promotion qui a largement été diffusée via des campagnes publicitaires à la télévision, sur les réseaux sociaux, à la radio: « le vaccin protègera votre santé et celle de votre prochain ». Une promotion qui sexualise même la vaccination pour la vendre « oui, le vaccin peut avoir des effets désirables ». Et malgré toutes les remontées de pharmacovigilance qui recensent aujourd’hui 152 308 déclarations d’effets secondaires en France depuis le début de la vaccination, on a continué à inciter les gens à aller se faire vacciner pour travailler, prendre les transports, aller au restaurant, aller au cinéma… Pourquoi l’état n’alerte-t-il pas sur ces effets indésirables ? Ces femmes et jeunes filles seront-elles exonérées de la dose de vaccin obligatoire ? Parce que ne nous leurrons pas, les amis, la quatrième, voire la cinquième dose sont déjà sur la table.

On retrouve bien un paragraphe qui mentionne les troubles menstruels chez Pfizer et Moderna. Les victimes de ces vaccins ont-elles reçu un consentement libre et éclairé ? On les invite aujourd’hui à consulter leurs médecins. Mais vers qui se tourner quand on a des problèmes de règles ? On a depuis deux ans enlevé la liberté thérapeutique aux médecins, on leur a interdit de soigner leurs patients, on a mixé les vaccins, si bien qu’on se retrouve avec des personnes vaccinées avec Pfizer et Moderna, sans se soucier des possibles interactions et effets délétères et on demande aujourd’hui à ces médecins de prendre en charge ces patientes. Il faut suivre le protocole, il faut toujours suivre le protocole alors on peut facilement le comprendre qu’ils soient démunis, c’est le monde à l’envers. Commençons par informer médecins et patients des tenants et des aboutissants, des risques de ces vaccins, et rendons la liberté thérapeutique aux médecins.

Toutes ces femmes et jeunes filles attendent une reconnaissance des effets secondaires, une écoute et des réponses aussi. C’est dramatique ce qu’il se passe aujourd’hui, on touche aux organes vitaux et à la fertilité. On retrouve beaucoup d’articles dans la presse mentionnant que le lien scientifique n’est pas établi. Mais quand on sait que certaines femmes avaient fait évaluer leur réserve ovarienne avant de rentrer dans un programme de FIV (Fécondation In Vitro), et qu’après la vaccination, on leur annonce une réserve ovarienne quasi nulle, on ne peut plus nier, c’est avéré: il y a bien un lien entre les vaccins contre la Covid-19, et les troubles du cycle menstruel et de la fertilité. Quand on déconseille le Doliprane et les huiles essentielles aux femmes enceintes, qu’elles doivent faire attention à tout ce qu’elles ingèrent mais qu’en revanche on peut faire deux ou trois injections de vaccins expérimentaux, ce n’est plus de la médecine, mais ça constitue un crime. Comment peut-on encore affirmer que c’est normal ? Pourquoi seuls les médias indépendants en parlent ? Que font les médias mainstream qui ont pour habitude de se ruer sur les informations les plus croustillantes, sans cesse à la recherche du buzz ? Si l’on venait à établir un lien entre vaccination et effets indésirables, cela remettrait en cause la politique de vaccination, et toutes les mesures mises en place depuis deux ans. Ce sont toutes ces questions que se posent aujourd’hui des milliers de femmes et de jeunes filles, et il va falloir leur expliquer un jour pourquoi certaines ne pourront jamais avoir d’enfant.

C’est quand même formidable, du mot latin qui fait peur, que Monsieur Véran ne prenne aucune précaution. Il s’est bien moqué de nous avec son « ce n’est pas grave ça reviendra le mois prochain ». Mesdames, il faut oser témoigner, oser en parler autour de vous pour éveiller les consciences car il n’y a pas de petits symptômes et de petits problèmes, il faut que ça se sache pour que justice soit faite, que la vérité soit rétablie et que les responsables de ce crime contre l’humanité soient punis. Vous êtes les victimes de cette grande supercherie et vous avez le droit de savoir. Quand on touche aux organes génitaux d’adolescentes en pleine construction, quand on observe chez l’homme – il est vrai qu’on parle beaucoup des femmes ici mais les hommes sont aussi touchés – de troubles de la fertilité et des problèmes d’érection, c’est un vrai sujet.

Tous effets confondus, les femmes sont à près de 70% les victimes des effets post injection (2 489 126 cas)9. Pour quelles raisons ? A ce jour, nous n’en savons rien – même si cela reste troublant – cela mériterait une étude plus approfondie de la situation.

Pour clôturer cet article sur une note positive, ça bouge dans les autres pays ! En Israël, aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Autriche, en Inde… La Cour Suprême indienne juge la vaccination obligatoire anticonstitutionnelle10, une juge annule l’obligation du masque dans les transports publics aux Etats-Unis12, le gouvernement autrichien a annoncé la suspension de la loi sur la vaccination obligatoire contre la Covid-19, plusieurs pays comme le Brésil, Taïwan, le Vietnam commencent à renoncer à vacciner une partie de leurs concitoyens7, la Pologne refuse d’injecter de nouvelles doses et réclame la suspension de l’approvisionnement en vaccin imposé par l’Union européenne7, le laboratoire Pfizer vient d’être contraint par la justice américaine de publier sans attendre les documents sur l’expérimentation et la production de son produit ARN11… Ça bouge aussi chez les professionnels de santé, 217 sages-femmes autrichiennes ont tiré la sonnette d’alarme et se sont adressées le 4 janvier dernier au Comité autrichien des sages-femmes ainsi qu’aux politiciens pour dénoncer les complications rencontrées chez des femmes enceintes après une injection à ARN messager: naissances prématurées, fausses couches, saignements, retards de croissance des enfants… « C’est seulement si tous les effets indésirables atteignent la conscience du grand public qu’un revirement peut aussi être provoqué dans la politique, et qu’on pourra stopper ces injections irresponsables »14. On pourrait en citer d’autres des exemples, mais ce n’est pas l’objet de cet article. Quand on voit la vitesse à laquelle les scandales éclatent, nous n’avons pas fini d’entendre parler des effets des vaccins contre la Covid-19, bien au contraire, ça ne fait que commencer.

Sources

  1. Cycle menstruel perturbé après la vaccination: « pas de lien direct » dit l’ANSM, qui maintient sa surveillance, France Inter, 22 décembre 2021: https://www.franceinter.fr/societe/cycle-menstruel-perturbe-apres-la-vaccination-pas-de-lien-direct-dit-l-ansm-qui-maintient-sa-surveillance
  2. Le Sénat à l’écoute des victimes présumées d’effets secondaires graves du vaccin, France soir, 6 avril 2022: https://m.youtube.com/watch?v=zI-B43vJYls
  3. Effets secondaires des vaccins: des femmes entendues sur des problèmes menstruels, 6 avril 2022: Effets secondaires des vaccins: des femmes entendues sur des problèmes de cycles menstruels – Pleine vie
  4. Vaccin anti-covid et troubles menstruels: un collectif de femmes au Sénat, Top Santé, 6 avril 2022: Vaccin anti-Covid et troubles menstruels: un collectif de femmes reçu au Sénat – Top Santé (topsante.com)
  5. Table ronde sur les effets secondaires qui seraient liés aux vaccin Covid, France soir, 5 avril 2022: https://m.youtube.com/watch?v=zI-B43vJYls
  6. Complications vaccinales – Audiences au Sénat avec le Dr Amine Umlil, Média zone, 13 avril 2022: https://mediazone.zonefr.com/videos/complications-vaccinales-audiences-au-sénat-avec-le-dr-amine-umlil-483
  7. Le point critique, 22 avril 2022: https://lepointcritique.fr/2022/04/22/vaccination-obligatoire-enfants-injectes-quoi-qu-il-leur-en-coute/
  8. Cycle menstruel et effets du vaccin: on en parle oui ou non ?, Oval Média, 26 avril 2022: https://www.oval.media/fr/2ddc0e82-401f-447e-8619-d562cf9afd2c/
  9. VigiAccess, Covid 19, patient sex distribution: VigiAccess 
  10. Covid: la Cour suprême indienne juge la vaccination obligatoire anti-constitutionnelle, France soir, 5 mai 2022: Covid: la Cour suprême indienne juge la vaccination obligatoire anti-constitutionnelle (francesoir.fr)
  11. Rapport OMS, Pfizergate: anatomie d’un crime concerté contre l’humanité, Yetiblog, 6 mai 2022: Rapport OMS, Pfizergate: anatomie d’un crime concerté contre l’humanité (yetiblog.org)
  12. Une juge annule l’obligation du masque dans les transports publics aux Etats-Unis, Sud Radio, 21 avril 2022: Une juge annule l’obligation du masque dans les transports publics aux Etats-Unis – YouTube
  13. L’Autriche suspend sa loi sur la vaccination obligatoire, Euronews, mise à jour le 09 mars 2022: L’Autriche suspend sa loi sur la vaccination obligatoire | Euronews
  14. « Les sage-femmes montent au créneau » – Graves dommages après la vaccination Covid, Kla tv, 26 avril 2022: « Les sages-femmes montent au créneau » – Graves dommages après la vaccination Covid | #Coronavirus-fr | Kla.TV

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