Pourtant, il faut, il faut que l’on vous dise, on déplore un tout petit rien…
Les sources des données officielles relèvent de très nombreux effets secondaires des vaccins Covid. Au 16 septembre 2021, le nombre de déclarations d’effets indésirables graves était de 22560 en France, dont 1206 décès (source : ANSM1).
Vous entendrez sans doute les médias traditionnels argüer :
« La déclaration d’un effet indésirable ne prouve pas le lien de cause à effet avec la vaccination. »
Eh bien, on est d’accord ! Mais il y a bien une ou deux choses troublantes là-dessous. Tout d’abord, c’est aussi le cas pour tous les autres vaccins et médicaments, et pourtant on peut constater un nombre de signalements très inquiétant dans le cas des vaccins Covid. La base de signalement des Etats-Unis, le VAERS, permet ainsi de constater qu’en seulement 6 mois la vaccination anti-covid représente 36% de la mortalité post-vaccinale dans tout le pays depuis 30 ans tous vaccins confondus (2)

De plus on ne parle là que des déclarations, or on sait que les effets secondaires sont mal recensés. La France en déclare 10 fois moins que les Pays-Bas3 par exemple, qui eux-mêmes n’atteignent probablement pas une transparence totale, et 2 fois moins que la moyenne européenne. Ah mince ! Si on commence à multiplier par 10 ou 100, faites le calcul…
« Le Covid est tellement grave, il y a urgence, on peut ignorer les effets indésirables des vaccins ! »
Effectivement, le rapport bénéfice risque est la boussole des médecins quand il s’agit de vacciner ou soigner en général. Bien sûr, on compte à ce jour environ 117 000 décès du Covid en France, c’est une maladie à prendre au sérieux.
Mais ce décompte des morts inclut toutes les personnes mortes avec le Covid. Sachant que leur âge moyen est de 82 ans… alors que l’espérance de vie en France est de moins de 80 ans pour les hommes et 86 ans pour les femmes.4
Ainsi, un patient en phase terminale d’un cancer mais positif Covid est toujours comptabilisé dans les morts Covid. A l’inverse, une personne mourant dans les 24 heures après une vaccination mais présentant des comorbidités est victime de ses comorbidités. Il suffit pour constater cela de lire les rapports de l’ANSM édités par vaccin.
On voit que d’un côté tout est fait pour maximiser le compte du nombre de morts du Covid et de l’autre tout est fait pour minimiser ou ignorer les risques de la vaccination.
Qui plus est, ce fameux rapport bénéfice-risque est à détailler par tranche d’âge. La plupart des effets indésirables graves des vaccins sont déclarés chez les moins de 64 ans, alors qu’ils n’ont que peu de chances de mourir du Covid !5
Cette logique à deux niveaux est subversive, mensongère, et elle porte un nom : c’est de la manipulation !
« On se vaccine pour protéger les autres. »
On raconte, notamment aux jeunes et aux personnes à faible risque, qu’il faut se vacciner pour protéger les autres. C’est bien de protéger les autres… Mais on ne leur dit pas que les effets indésirables à long terme ne sont pas évalués. Beaucoup de médecins signalent des problèmes, ces signalements ne sont plus isolés. Plusieurs collectifs de chercheurs et de scientifiques ont lancé des appels à la prudence qui n’ont pas été entendus6.
On ne leur dit pas non plus qu’ils sont potentiellement porteurs du virus et aussi contagieux qu’une personne non vaccinée7.
Par contre on incite les personnes vaccinées à se sentir en sécurité. Les personnes vaccinées ne sont plus cas contact, et ne font plus de tests. De cette façon, il est facile de soutenir qu’elles ne sont pas porteuses du virus, c’est ce qu’on appelle une prophétie auto-réalisatrice !
Les sources de nos chiffres sont toutes officielles, et se basent en particulier sur le site de l’ANSM (Agence Nationale de Santé du Médicament).
Par contre notre raisonnement lui s’affranchit de la logique d’état. L’information est là, sous nos yeux, autour de nous : continuez à nous suivre, on l’explore avec vous !
Sources
- Rapport périodique publié sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament.
- Chiffre vérifiable dans la base de données du VAERS et relevé dans un article de plusieurs auteurs publié sur FranceSoir .
- Comparaison des déclarations d’effets indésirables entre différents pays et rapporté au nombre de doses injectées (voir le paragraphe Covid Belgique – Graphiques 42 – 10 septembre 2021).
Cette comparaison a été effectuée par Christophe de Brouwer, MD, PhD. Professeur à l’Université Libre de Bruxelles et ancien président de l’École de Santé publique de l’Université Libre de Bruxelles. - Espérance de vie en France en 2019, avant l’impact du Covid : source INSEE.
- Basé sur les chiffres de la base Eudravigilance, vérifiable et souligné dans l’article de 57 scientifiques sur la stratégie vaccinale Covid-19
- Appels à la prudence sur la stratégie vaccinale : voir référence précédente et l’appel de Rome lancé par plus de 5000 médecins et scientifiques.
- Sur la contagiosité potentielle des vaccinés, voir notamment la déclaration d’Antoni Fauci relayée dans plusieurs médias. Même si on admet que la probabilité d’être contagieux est plus faible chez les vaccinés, elle est très loin d’être nulle et devrait donc être prise en compte.
La manière dont les évènements se sont enchaînés jusqu’à aujourd’hui nous incite à penser que la » crise » sanitaire n’est peut-être que l’arbre qui cache la forêt…
Que ce soit l’interdiction d’utiliser la chloroquine tombée le 14 janvier 2020 – avant d’être pleinement alertés par les médias de l’ampleur de cette » pandémie » – ou le comptage débridé des morts imputés au covid, ou encore les médias mainstream qui parlent tous d’une même voix pour injecter une thérapie génique en phase de test à toute la population, ou surtout l’obligation de s’équiper d’un Qrcode pour aller à la piscine, en gardant le masque jusqu’au vestiaire puis en le quittant, alors qu’on est sensé être vacciné, mais non, ça ne sert pas à grand chose finalement, enfin bref, en inscrivant au sein de la population l’habitude de justifier de son état sanitaire avant même que la démonstration de l’utilité du vaccin ait été établie (des publications en Israël montrent que c’est même préférable de ne pas être vacciné si on est pas dans la case comorbidités et obésité ou vieillesse…) ça en devient un peu louche à force. Disons que tout cela manque cruellement de transparence et de discussion.
La professeure de philosophie Barbara Stiegler parle » d’effet d’aubaine » pour décrire une soudaine accélération des changements dans l’éducation, la santé, le travail, qui ont eu lieu lors de cette période de confinements. Tout un tas de mesures étaient déjà en cours d’implémentation et la crise à permis une sorte de » saut quantique « , on arrête d’attendre que les gens changent de mode de vie, on les y colle direct avec des mesures de guerre.
Alors la suite c’est quoi au juste ?
L’identité numérique pour vérifier que le contenu de nos appareils et notre activité sur internet n’est pas suspecte ?
Le crédit social à la chinoise ?
Le système de santé avec diagnostics robotisés embarqués sur chaque personne avec des capteurs et de l’intelligence artificielle qui nous prescrit des ordonnances automatiques, le tout sous forme d’abonnement et on oublie les médecins et l’écoute de soi, si la machine dit que va y avoir un problème, c’est que va y avoir un problème… Le tout au bénéfice d’une grande et glorieuse industrie BiGPharma qui oeuvre pour notre bien-être ?
Quel que soit ton scénario mon ami, le résultat sera que les gagnants sont nos amis les labos, et leurs actionnaires, qui savent que quoi qu’il arrive n’auront aucune poursuite.
Bravo la mafia, bien joué.
Bravo le peuple, bien avalé.
Remarque, rien de surprenant, après tout, ça faisait longtemps que des événements qui placent l’autorité abusive en position dictatoriale n’avaient pas révélé ce qui est pourtant si évident si on regarde l’histoire de ce pays : la couardise, le mépris, le règne de la peur de perdre son petit confort. Pourquoi pas organiser une dénonciation des non vaccinés publique ? Genre les personnes devraient défiler dans les rues avec un panneau » homme sandwich » qui dit » je ne suis pas vacciné·e » ou » je suis un danger pour la société « , on leur raserait les cheveux..
Bref, on est mal barré.
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